Mieux gérer les apports d'azote avec PurYield
Certaines cultures comme le maïs, les céréales, le canola et les pommes de terre exigent une grande quantité d'azote pour atteindre des rendements élevés. Mais qui dit surplus d'azote, dit impacts sur l'environnement. La solution? Appliquer toujours la bonne dose, au bon moment, avec l'azote à libération contrôlée PurYield.
Ce fertilisant nouvelle génération a été développé grâce à un partenariat entre Sollio Agriculture et Pursell. En plus d'être une excellente source d’azote en présemis, le PurYield se volatilise moins qu’une source d’azote conventionnelle lorsqu'il est appliqué à la volée. Ça veut dire :
Plus de rendements;
Meilleur retour sur investissement;
Moins de passages au champ;
Moins de pertes par lessivage;
Moins de gaz à effet de serre.
Comment fonctionne l'azote à libération contrôlée?
Le PurYield est constitué de granules roses homogènes qui sont enrobées d’un polymère. Ce polymère protège l’azote dans le sol et la libère au fur et à mesure que la température du sol augmente, en parfaite synchronisation avec la croissance de la plante.
Comment fonctionne le technologie de l'enrobage de polymère ?
De 30 à 40 % de l'azote sera dégagé durant le premier mois, en supposant que la température du sol se situe entre 5 et 15°C.
Le maximum de libération a lieu lorsque la température du sol atteint de 15 à 20°C.
En moyenne, de 80 à 90 % de l'azote est libéré à l'intérieur de 60 à 70 jours.
Cette technologie procure les éléments nutritifs à la plante lorsqu'elle les requiert, réduisant ainsi les pertes potentielles.
Le PurYield est un fertilisant très concentré (analyse garantie de 45-0-0) d'une densité de 77 kg/hl. Ça veut dire qu'il est parfaitement compatible avec l’urée et le sulfate d’ammonium, mais qu'il ne faut jamais le mélanger avec de l’azote contenant du nitrate.
Des résultats prometteurs
Il n'y a pas de secrets. Ça prend des fertilisants à la fine pointe de la technologie comme PurYield pour aider les fermes canadiennes à atteindre leur plein potentiel, dans une perspective d'agriculture durable.
Source: La version originale de cet article est parue dans le magazine Coopérateur.